Le 19 mars, Golden Ten Data a montré que l’inflation dans la zone euro était plus faible que prévu le mois dernier, ce qui a montré des signes supplémentaires de refroidissement économique à un moment où les décideurs politiques réfléchissaient à l’ampleur de la poursuite de la baisse des taux d’intérêt. Les données ont montré que les prix ont augmenté de 2,3 % en glissement annuel en février, ce qui est inférieur à la lecture préliminaire de 2,4 % et signifie également que le taux d’inflation annuel a fortement ralenti par rapport à 2,5 % au début de l’année. La présidente de la BCE, Christine Lagarde, a averti lors de la réunion de la banque ce mois-ci que les droits de douane américains créaient une « grande incertitude » plus grave que les turbulences économiques causées par la pandémie. La BCE a abaissé à plusieurs reprises ses prévisions de croissance du PIB de la zone euro et s’attend désormais à ce que l’économie de la zone euro ne progresse que de 0,9 % cette année, soit beaucoup moins qu’aux États-Unis, la faiblesse économique remplaçant l’inflation étant la principale préoccupation de la BCE. M. Rennes, membre du Conseil des gouverneurs de la BCE, a déclaré cette semaine que la détérioration du contexte commercial pourrait signifier que les responsables de la fixation des taux optent pour de nouvelles réductions des coûts d’emprunt.
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L'inflation dans la zone euro le mois dernier était inférieure aux attentes, la hausse de la croissance a remplacé l'inflation comme point de suivi.
Le 19 mars, Golden Ten Data a montré que l’inflation dans la zone euro était plus faible que prévu le mois dernier, ce qui a montré des signes supplémentaires de refroidissement économique à un moment où les décideurs politiques réfléchissaient à l’ampleur de la poursuite de la baisse des taux d’intérêt. Les données ont montré que les prix ont augmenté de 2,3 % en glissement annuel en février, ce qui est inférieur à la lecture préliminaire de 2,4 % et signifie également que le taux d’inflation annuel a fortement ralenti par rapport à 2,5 % au début de l’année. La présidente de la BCE, Christine Lagarde, a averti lors de la réunion de la banque ce mois-ci que les droits de douane américains créaient une « grande incertitude » plus grave que les turbulences économiques causées par la pandémie. La BCE a abaissé à plusieurs reprises ses prévisions de croissance du PIB de la zone euro et s’attend désormais à ce que l’économie de la zone euro ne progresse que de 0,9 % cette année, soit beaucoup moins qu’aux États-Unis, la faiblesse économique remplaçant l’inflation étant la principale préoccupation de la BCE. M. Rennes, membre du Conseil des gouverneurs de la BCE, a déclaré cette semaine que la détérioration du contexte commercial pourrait signifier que les responsables de la fixation des taux optent pour de nouvelles réductions des coûts d’emprunt.